Dans le cadre du projet 2ème souffle, en collaboration avec l’APAJ nous avons organisé la 1ère sortie sport santé culture le 16 octobre 2016.

Nous sommes allées visiter le domaine de Restinclières sur la commune de Prades. Déjà sur le trajet, les femmes s’enthousiasmait de voir le paysage naturel défilé sous leur yeux. Avant d’arriver au domaine, nous avons eu la chance d’apercevoir l’Hortus et son grand frère le Pic Saint Loup, les deux sommets montagneux de la région montpelliéraine. Félicette, Paule, Lola, Virginie, Lolita, Mado et Chantal étaient ravies, elles ne les avaient jamais vus.

Cette sortie sera également  l’occasion de découvrir la flore locale. En effet à cette période de l’année les arbouses commencent à être mures. Les femmes ont pu goûter la saveur de ce petit fruit méditerranéen, peu connu.

Campé sur les hauteurs, le château de Restinclières s’ouvre sur un parterre à la française qui dévale en terrasses et domine un paysage de garrigues. Bordé du Lez et du Lirou, ce domaine de plus de 200 ha offre au visiteur une grande mosaïque de paysages et un patrimoine naturel exceptionnel. Sur ce domaine phare de la politique de l’environnement départementale, le Conseil général de l’Hérault a mis en place, en collaboration avec différents partenaires (INRA, Chambre d’Agriculture, CRPF…), une des plus grandes expériences européennes d’agroforesterie, mêlant cultures et plantations forestières. Le plan de gestion de ce domaine vise pour les prochaines années à renforcer cette vocation dans un écrin patrimonial préservé.

Lors de notre visite du domaine, nous avons eu la chance de pouvoir visiter des pièces du château de Restinclières dans lequel il y avait plusieurs expositions.

Le groupe a pu découvrir l’exposition « Anarchitectures » composée de dessins, esquisses et sculptures réalisés par Sylvain Corentin, sculpteur.

Ses œuvres évoquent des habitats, des refuges des 1ers âges, entre archéologie et utopie, entre passé et futur …

Une des autres exposition traitait des énergies renouvelables. Un vélo permettait de comprendre quelle énergie il faut fournir pour allumer une ampoule.

En effet le vélo était connecté à l’ampoule, qui, par l’énergie crée par le mouvement du pédalier, s’éclairait.
Après que chacune se soit essayé à éclairer l’ampoule, nous sommes retournés dans le parc pour prendre le goûter afin de recharger les batteries. En effet la moyenne d’age du groupe étant de quasi 70 ans, la fatigue se fait vite ressentir. Lors de cette sortie nous avons fait environ 3 km à pied.